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L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
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L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Parlez-nous du "Bourgogne"...
Les années 30 sont l’âge d’or des paquebots… Allemands, anglais, américains et bien sûr français s’affrontent pacifiquement dans une course de vitesse, de gigantisme… et de luxe. En 1935 est lancé "Normandie", le plus grand et le plus beau paquebot n’ayant jamais navigué jusqu’à lors. On aurait pu croire que la France avait dit son dernier mot. Eh bien non ! Deux ans plus tard, la Compagnie Française de Transport mettait en service le paquebot "Bourgogne". L’histoire n’en a pas gardé souvenir… Et pourtant c’était un navire révolutionnaire à bien des égards.
Qu’avait-il de si extraordinaire ?
Tout d’abord, au plan de sa conception… Que n’a-t-on pas dit à l’époque ? Les mauvaises langues insinuaient qu’il était une copie de Normandie ! Il est vrai qu’on pouvait trouver une certaine ressemblance à leurs silhouettes et dans la distribution des locaux communs : Salle à manger, salons, théâtre. Mais le Bourgogne possédait des caractéristiques dont ne pouvait se prévaloir aucun autre paquebot. Il fut le premier à utiliser le RADAR et il était doté d’un système anti roulis extrêmement efficace. Le confort des passagers était encore accru par une insonorisation extraordinaire des ponts inférieurs : Soutes, entrepôts et surtout machines. Pour l’époque c’était vraiment une révolution. Il faut ajouter à ces innovations techniques un nouveau système de transmission qui permit au Bourgogne de conquérir le Ruban bleu dès sa première traversée de l’Atlantique. Ce système conçu par les ingénieurs Piau et Sirot fut l’un des secrets les mieux gardé du Bourgogne.
Son exploitation commerciale était également originale. Il ne faut pas oublier que la crise de 29 n’est pas très loin… Et que rentabiliser un tel navire tenait du prodige. Souvent, c’était l’Etat qui comblait le déficit !
Cela ne fut pas nécessaire avec le Bourgogne en raison de la politique commerciale suivie par son armateur. Il fut décidé qu’il n’y aurait qu’une seule classe : La classe Prestige. D’autre part, une grande partie des services du bord ; pressing, librairie, boutiques, photographe, etc… fut concédée à des commerçants indépendants.
Dès sa première année d’exploitation, le Bourgogne permit à la C.F.D.T de gagner de l’argent !
Qu’est devenu le "Bourgogne" ?
Deux ans seulement après sa mise en service, la guerre éclatait. Le navire était alors à New-York. Sans attendre les ordres, le commandant décida de mettre le navire à l’abri en Guadeloupe. Il y resta jusqu’à l’Armistice. C’est alors que devant l’attitude des gens de Vichy, et craignant que le navire ne tombe aux mains des nazis, le commandant Charvet mis le Bourgogne au service des alliés. L’entrée en guerre du super paquebot fut l’une des opérations les plus secrètes de la guerre ! La vérité n’a pu être connue que l’année dernière (1985) avec l’ouverture d’archives anglaises après 40 ans de censure… (cf le livre de Pierre Charvet : "Mon père, commandant du Bourgogne." – Ed. Ulysses).
Le Bourgogne appareilla pour une destination inconnue avec les hommes d’équipage volontaires. On ne le revit plus… Churchill annonça qu’il avait été coulé par un sous-marin allemand et Laval déclara qu’il avait été coulé par les anglais en complément à Mers-el-Kebir !
En réalité, il gagnait le nord de l’Ecosse. Là, les aménagements intérieurs furent démontés en grande partie et il fut recouvert par une peinture de camouflage. De fausses superstructures furent rajoutées pour modifier complètement sa silhouette… et il commença sa fulgurante carrière de "bateau fantôme", transportant d’énormes quantités de matériel. Aucun navire de guerre ne pouvait lui servir d’escorte ; mais sa vitesse justement et son radar, le rendaient quasiment invulnérable…
Sa dernière mission fut la plus tragique et la plus originale. En effet, depuis qu’Hitler avait envahi l’URSS, les alliés fournissaient à Staline une énorme quantité de matériel : chars, munitions, carburant.
Ces livraisons étaient vitales pour que l’URSS ne s’effondre pas sous les coups de boutoirs de la Wehrmacht. Les allemands mettaient tout en œuvre pour empêcher les convois de passer : Bombardiers, avions torpilleurs, meutes de sous-marins et une escadre de navires de surface comprenant des croiseurs lourds et le fameux cuirassé Tirpitz… Pour corser le tout, les convois devaient aussi affronter les terribles conditions de l’Océan Glacial Arctique. Chacun de ces voyages était une épopée !
Fin 1943, pour recevoir le paiement de Staline, Le Bourgogne fut envoyé à Mourmansk. Il fut chargé d’une importante cargaison d’or et repartit aussitôt vers Scapa-Flow à pleine vitesse. Son dernier message parvint à l’Amirauté le 3 décembre 1943. Rompant le silence radio, l’opérateur du Bourgogne envoyait le message suivant : "Heurté 2 mines flottantes – coulons rapidement". L’émission fut alors interrompue sans que l’on connaisse la position du navire. Le Bourgogne repose quelque part dans l’Océan Glacial Arctique, vraisemblablement au sud de l’île de Jan Mayen, la grande salle à manger remplie de lingots d’or…
Les années 30 sont l’âge d’or des paquebots… Allemands, anglais, américains et bien sûr français s’affrontent pacifiquement dans une course de vitesse, de gigantisme… et de luxe. En 1935 est lancé "Normandie", le plus grand et le plus beau paquebot n’ayant jamais navigué jusqu’à lors. On aurait pu croire que la France avait dit son dernier mot. Eh bien non ! Deux ans plus tard, la Compagnie Française de Transport mettait en service le paquebot "Bourgogne". L’histoire n’en a pas gardé souvenir… Et pourtant c’était un navire révolutionnaire à bien des égards.
Qu’avait-il de si extraordinaire ?
Tout d’abord, au plan de sa conception… Que n’a-t-on pas dit à l’époque ? Les mauvaises langues insinuaient qu’il était une copie de Normandie ! Il est vrai qu’on pouvait trouver une certaine ressemblance à leurs silhouettes et dans la distribution des locaux communs : Salle à manger, salons, théâtre. Mais le Bourgogne possédait des caractéristiques dont ne pouvait se prévaloir aucun autre paquebot. Il fut le premier à utiliser le RADAR et il était doté d’un système anti roulis extrêmement efficace. Le confort des passagers était encore accru par une insonorisation extraordinaire des ponts inférieurs : Soutes, entrepôts et surtout machines. Pour l’époque c’était vraiment une révolution. Il faut ajouter à ces innovations techniques un nouveau système de transmission qui permit au Bourgogne de conquérir le Ruban bleu dès sa première traversée de l’Atlantique. Ce système conçu par les ingénieurs Piau et Sirot fut l’un des secrets les mieux gardé du Bourgogne.
Son exploitation commerciale était également originale. Il ne faut pas oublier que la crise de 29 n’est pas très loin… Et que rentabiliser un tel navire tenait du prodige. Souvent, c’était l’Etat qui comblait le déficit !
Cela ne fut pas nécessaire avec le Bourgogne en raison de la politique commerciale suivie par son armateur. Il fut décidé qu’il n’y aurait qu’une seule classe : La classe Prestige. D’autre part, une grande partie des services du bord ; pressing, librairie, boutiques, photographe, etc… fut concédée à des commerçants indépendants.
Dès sa première année d’exploitation, le Bourgogne permit à la C.F.D.T de gagner de l’argent !
Qu’est devenu le "Bourgogne" ?
Deux ans seulement après sa mise en service, la guerre éclatait. Le navire était alors à New-York. Sans attendre les ordres, le commandant décida de mettre le navire à l’abri en Guadeloupe. Il y resta jusqu’à l’Armistice. C’est alors que devant l’attitude des gens de Vichy, et craignant que le navire ne tombe aux mains des nazis, le commandant Charvet mis le Bourgogne au service des alliés. L’entrée en guerre du super paquebot fut l’une des opérations les plus secrètes de la guerre ! La vérité n’a pu être connue que l’année dernière (1985) avec l’ouverture d’archives anglaises après 40 ans de censure… (cf le livre de Pierre Charvet : "Mon père, commandant du Bourgogne." – Ed. Ulysses).
Le Bourgogne appareilla pour une destination inconnue avec les hommes d’équipage volontaires. On ne le revit plus… Churchill annonça qu’il avait été coulé par un sous-marin allemand et Laval déclara qu’il avait été coulé par les anglais en complément à Mers-el-Kebir !
En réalité, il gagnait le nord de l’Ecosse. Là, les aménagements intérieurs furent démontés en grande partie et il fut recouvert par une peinture de camouflage. De fausses superstructures furent rajoutées pour modifier complètement sa silhouette… et il commença sa fulgurante carrière de "bateau fantôme", transportant d’énormes quantités de matériel. Aucun navire de guerre ne pouvait lui servir d’escorte ; mais sa vitesse justement et son radar, le rendaient quasiment invulnérable…
Sa dernière mission fut la plus tragique et la plus originale. En effet, depuis qu’Hitler avait envahi l’URSS, les alliés fournissaient à Staline une énorme quantité de matériel : chars, munitions, carburant.
Ces livraisons étaient vitales pour que l’URSS ne s’effondre pas sous les coups de boutoirs de la Wehrmacht. Les allemands mettaient tout en œuvre pour empêcher les convois de passer : Bombardiers, avions torpilleurs, meutes de sous-marins et une escadre de navires de surface comprenant des croiseurs lourds et le fameux cuirassé Tirpitz… Pour corser le tout, les convois devaient aussi affronter les terribles conditions de l’Océan Glacial Arctique. Chacun de ces voyages était une épopée !
Fin 1943, pour recevoir le paiement de Staline, Le Bourgogne fut envoyé à Mourmansk. Il fut chargé d’une importante cargaison d’or et repartit aussitôt vers Scapa-Flow à pleine vitesse. Son dernier message parvint à l’Amirauté le 3 décembre 1943. Rompant le silence radio, l’opérateur du Bourgogne envoyait le message suivant : "Heurté 2 mines flottantes – coulons rapidement". L’émission fut alors interrompue sans que l’on connaisse la position du navire. Le Bourgogne repose quelque part dans l’Océan Glacial Arctique, vraisemblablement au sud de l’île de Jan Mayen, la grande salle à manger remplie de lingots d’or…
Dernière édition par Jury le Mer 23 Jan 2013 - 14:14, édité 1 fois
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Où est-ce que j'allais chercher tout çà !
En plus, c'est un véritable teasing pour le logiciel de simulation navale "HMS Cobra" ! (une des mes créations favorites avec Meurtres en série).
C'est d'ailleurs curieux que je ne l'ai pas cité !
Et on entrevoit même l'amorce d'une "saison 2" : retrouver le trésor transporté par le Bourgogne !
Puisque vous êtes fanas de jeux... j'offre un exemplaire dédicacé du livre "La Bataille des convois de Mourmansk" de Jean-Jacques Antier à celui qui m'explique pourquoi j'ai donné ce nom "Ulysses" à l'éditeur du livre de Pierre Charvet "Mon père commandant du Bourgogne".
En plus, c'est un véritable teasing pour le logiciel de simulation navale "HMS Cobra" ! (une des mes créations favorites avec Meurtres en série).
C'est d'ailleurs curieux que je ne l'ai pas cité !
Et on entrevoit même l'amorce d'une "saison 2" : retrouver le trésor transporté par le Bourgogne !
Puisque vous êtes fanas de jeux... j'offre un exemplaire dédicacé du livre "La Bataille des convois de Mourmansk" de Jean-Jacques Antier à celui qui m'explique pourquoi j'ai donné ce nom "Ulysses" à l'éditeur du livre de Pierre Charvet "Mon père commandant du Bourgogne".
Dernière édition par Bertrand Brocard le Mer 22 Jan 2014 - 23:24, édité 1 fois
Bertrand Brocard- Messages : 3
Date d'inscription : 22/01/2013
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
C'est une histoire extraordinaire, p-e faudrait il contacter Luc Besson car c'est un scénario de film fabuleux à moins que James Cameron, déçu par le Titanic ne relève le défi
Editions Ulysses
Editions Ulysses
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Un rapport avec le 18 ème président des Etats Unis : Ulysses Grant ?
Ou bien le bouquin de James Joyce ?
Ou bien le bouquin de James Joyce ?
Dom50- Messages : 916
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Normandie
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Un rapport avec le jeu HMS COBRA ?
HMS Ulysses (roman)
HMS Ulysses (avec des points entre les initiales H.M.S. Ulysses aux États-Unis) est la première nouvelle de guerre en mer de l'écrivain écossais Alistair MacLean, et de fait, l'une des plus populaires. Publié d'abord en 1955, il fut édité aussi par Fontana Books en 1960. C'est l'expérience de l'auteur dans la Royal Navy au long de la seconde Guerre mondiale qui sert de base à l'histoire.
La nouvelle a reçu un bon accueil des critiques, et a été placé même au rang que deux autres classiques des années 1950 sur la guerre en mer : The Caine Mutiny de Herman Wouk (Ouragan sur le Caine) et The Cruel Sea de Nicholas Monsarrat.
Résumé
Il s'agit d'un croiseur, du type de celui sur lequel l'auteur avait servi (croiseur de classe Dido HMS Royalist), bien armé et rapide. Avec son équipage au bord de la mutinerie, l'Ulysses retourne à la mer pour escorter un convoi vital pour Mourmansk.
Dernière édition par maximus le Mar 21 Jan 2014 - 23:14, édité 1 fois
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Je pensais tout bêtement à Ulysse, le héros grec qui a préféré sillonner les mers pendant 10 ans avec ses compagnons plutôt que de rentrer chez lui où sa femme Pénélope l'attendait.
Les Grecs ont parfois des goûts bizarres ...
Les Grecs ont parfois des goûts bizarres ...
JeanBduCEO- Messages : 56
Date d'inscription : 01/02/2013
Age : 73
Localisation : Bondy (Seine-Saint-Denis)
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
On aimerait bien connaître la solution, même sans le cadeau
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Cé ben vrai çà !
Ca fait un an que BB nous fait lanterner. Il nous a oubliés ?
Ca fait un an que BB nous fait lanterner. Il nous a oubliés ?
JeanBduCEO- Messages : 56
Date d'inscription : 01/02/2013
Age : 73
Localisation : Bondy (Seine-Saint-Denis)
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Ca fait un an que BB nous fait lanterner. Il nous a oubliés ?
Je viens d'envoyer un Mail à Bertrand dans lequel je lui demande la solution de son énigme
Il devrait nous répondre, soit directement dans ce forum, soit par mail, auquel cas, je transmettrai .
Dom50- Messages : 916
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Normandie
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Tiens, on n'a pas tout perdu, une action à se partager.
JeanBduCEO- Messages : 56
Date d'inscription : 01/02/2013
Age : 73
Localisation : Bondy (Seine-Saint-Denis)
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Ou as-tu trouvé ça?
Dans le fond d'un de tes tiroirs ? Sous un vieux matelas?
Ou bien sur le Net ?
Auquel cas ce se serait pas seulement l'argent qui serait virtuel, mais l'action elle même
Dans le fond d'un de tes tiroirs ? Sous un vieux matelas?
Ou bien sur le Net ?
Auquel cas ce se serait pas seulement l'argent qui serait virtuel, mais l'action elle même
Dom50- Messages : 916
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Normandie
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Eh bien cela n'a pas trainé! Merci Bertrand !Je viens d'envoyer un Mail à Bertrand dans lequel je lui demande la solution de son énigme
Ci dessous le mail reçu à l'instant :
__________________________________________________________________________________________
Salut Dominique !
Certains se sont approchés...
Pour moi la bonne réponse c'était de dire que j'avais créé un logiciel de simulation navale intitulé "HMS Cobra" directement inspiré de l'épopée des convois arctiques de la deuxième guerre mondiale raconté par Alistair Mc Lean dans HMS Ulysses. C'est même un des jeux dont je suis le plus fier !
Donc HMS Ulysses c'était pas mal mais il manquait HMS Cobra !
Dans ma grande bonté, je veux bien envoyer un bouquin mais il faut que ça intéresse vraiment le destinataire.
Et qu'il me dise - le jeu n'est pas fini - où l'on peut visiter le sister-ship du HMS Cobra en 2014. Fastoche.
Amitiés.
Bertrand
PS Pour le forum évidemment je ne retrouve pas mon login... Je te laisse recopier et donner le bonjour à tout le monde
_______________________________________________________________________________________
Il semble que Maxi ait "presque" gagné le bouquin... Reste la question subsidiaire
Dom50- Messages : 916
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Normandie
Re: L'histoire du Paquebot "le Bourgogne"
Il est ici :
J'ai oublié de donner l'adresse :
HMS Belfast
The Queen's Walk
London
SE1 2JH
J'ai oublié de donner l'adresse :
HMS Belfast
The Queen's Walk
London
SE1 2JH
JeanBduCEO- Messages : 56
Date d'inscription : 01/02/2013
Age : 73
Localisation : Bondy (Seine-Saint-Denis)
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